La reine Elizabeth quitte l’économie britannique sous la tempête
Agence/Poste de Gaza
Éditeur/Jumana AlRayes
La reine Elizabeth II a quitté la Grande-Bretagne embourbée dans une spirale de crises économiques qui pourraient la mener à une récession sans précédent.
Quelques jours avant le départ de la reine britannique, le classement du Royaume-Uni sur la liste des plus grandes économies du monde est tombé à la sixième place après l’Inde, qui a acquis la sixième place, selon l’agence de presse allemande.
Dans un contexte de crise énergétique aiguë, l’économie britannique est aux prises avec des difficultés, notamment une inflation qui atteint des sommets de 40 ans, une crise du coût de la vie et le risque d’un ralentissement, à un moment où les votes en faveur d’une réduction des impôts sont plus forts.
La nouvelle Première ministre britannique, Liz Truss, s’est engagée à sortir la Grande-Bretagne de la « tempête » économique et a promis de reconstruire le Royaume-Uni. « J’ai un plan pour que l’économie britannique connaisse une forte croissance dans les 10 prochaines années », a-t-elle déclaré.
La reine Elizabeth est partie à un moment difficile, laissant le Royaume-Uni menacé par une récession économique, au milieu d’une réalité économique amère et de crises mondiales qui pourraient mettre l’économie britannique à sa pire étape de son histoire.