Agencie/Poste de Gaza
Éditeur/Jumana Waffeeq AlRayes
Pour la Journée nationale de la femme : 17 mille Palestiniennes ont été arrêtés depuis 1967
La Commission des affaires des prisonniers et des libérateur sa déclaré que le nombre de femmes palestiniennes arrêtées depuis 1967 a atteint environ 17 000.
Dans une fiche signalant les souffrances des prisonnières palestiniennes dans les prisons d’occupation, La Commission des prisonniers a expliqué lors de la Journée nationale des femmes palestiniennes, le 26 octobre de chaque année, que le nombre total de prisonnières était de 4,700, alors que le nombre de femmes détenues s’élève actuellement à 30, dont deux en détention administrative, à savoir : Shurooq al-Badan du gouvernorat de Bethléem et Bashri al-Tawil du gouvernorat de Ramallah.
La commission a indiqué que le nombre de femmes et de filles arrêtées depuis la signature des accords d’Oslo a atteint environ 2 550.
Elle a noté qu’au cours de l’année en cours et de l’année dernière, le taux le plus élevé d’arrestations parmi les femmes provenait du gouvernorat de Jérusalem, à 45 %.
Il a noté que 17 prisonnières avaient été condamnées, au-dessus d’elles les prisonnières Sunrise Douayat, Shatila Abu Ayad (16), Aisha al-Afghani et Mason al-Jabali (15).
Il y a une prisonnière de moins de 18 ans, qui est l’influence de Hammad du quartier Sheikh Jarrah dans la ville occupée de Jérusalem.
Six prisonnières blessées, la dernière dans le cas du prisonnier Isra Ja ‘abis de Jérusalem et du gouvernement de 11 ans, sont parmi les cas les plus graves au niveau des prisonniers et des détenus. Elles sont gravement brûlées dans le corps, Elle a dû subir plusieurs opérations, même pour l’aider à surmonter la douleur.
La Commission a souligné qu’au cours des dernières décennies, les femmes palestiniennes ont participé à la lutte contre l’occupation comme d’autres membres de notre peuple palestinien, notant que les femmes et les filles sont ciblées lors de leurs arrestations et interrogatoires. Ils ne sont pas épargnés les coups, les côtes, les bizutages, les détentions de cellules et les tortures sous ses diverses formes par l’armée d’occupation, sans égard à leur spécificité et à leur nature féminine.
Les prisonnières font face à des conditions de détention difficiles et des conditions de vie dans une prison « Damon », les caméras sont toujours installées à Fur Square, en dehors de les avoir dans des pièces très mauvaises avec une humidité élevée, ainsi que le voyage d’agonie qu’ils vivent à travers une soi-disant voiture. Les autorités de l’occupation les privent aussi délibérément de traitements par négligence médicale, ignorant leurs maladies et leur refusant les visites de leurs proches à de piètres arguments et prétextes.
Au cours de l’année en cours, les institutions palestiniennes ont décidé d’organiser les événements de cette journée nationale, à partir du lundi 24 octobre, où le soutien et le soutien au rôle des femmes se tiendront dans les villes et les gouvernorats du pays.